Architecture de circularité urbaine : Un modèle architectural s’intégrant aux villes existantes et profitant des flux pour l’atteinte d’une collectivité viable autonome connectée.
Cet essai (projet) s’intéresse au potentiel des villes pour l’autonomie sociétale. Dans un contexte de pandémie et celui d’un avenir plus ou moins incertain dû aux changements climatiques, quelles possibilités offre notre mode de vie urbain déjà établi ? Comment pouvons-nous, en tant que société, améliorer le système par les opportunités qu’offre l’établissement de nouveaux flux urbains comme celui du réseau structurant. Ainsi, le projet cherche à comprendre comment l’architecture peut proposer un canevas pour la vie communautaire urbaine afin d’idéaliser une autosuffisance collective. C’est donc par l’implantation d’un nouveau pôle d’innovation alimentaire et énergétique connecté au nouveau pôle d’échange St-Roch du tramway de Québec que le projet développe l’idée d’un système soutenable.
Ce projet de recherche création crée un écosystème interrelié qui s’imbrique en complémentarité à la ville actuelle à la manière d’un organe fonctionnel de la ville de Québec. Il propose une nouvelle façon de vivre la ville en circularité tout en offrant une articulation entre les banlieues et la ville par l’intégration du réseau structurant. En somme, c’est un projet qui se veut être une nouvelle façon de vivre la circularité urbaine dans une interrelation des éléments qui constituent notre mode de vie actuel. Un écosystème soutenable, technologique et interrelié par et pour la communauté et qui s’insère en complémentarité de la ville actuelle. Le projet devient ainsi un organe fonctionnel de la ville, un écosystème soutenable lié à son contexte et à sa communauté qui s’insère en complémentarité de la ville actuelle.
C’est une articulation entre banlieue et ville.